Aux armes samourai !

La table était dressé pour bon nombres de convives établés comme les vaches que l'on mènent à leur mangeoire, appréciant toujours les mêmes places et les même plats. Bien que le Shogun n'était pas arrivé les discutions allaient bon train, les impôts d'un coté, la réponse venant d'un homme grassouillet, bougeant une forme étrange entre ces doigts gras vola à travers la table que l'autre était stupide. Je pris un temps pour y deviner les contours rongé, une cuisse d'un oiseau n'ayant pas beaucoup de chance. J'écarta le trône et m'y installa disposant mes pieds sur la table avec fracas qui mit fin à toutes les discutions. La tête en arrière mes cheveux tombant en une pluie sombre sur mes épaules, appréciant le silence je ferma les yeux, un homme sur ma droite me mit en garde contre la colère des dieux que je blasphémais en prenant une telle attitude. Je me contenta d'observer le silence bien plus éloquent que tout mes discours moralistes ou bien injurieux dont j'aurais pu faire preuve. L'homme frappa la table, un coup faible j'ouvris discrètement un oeil pour voir qui se trouvait la. Le maître d'arme n'était plus très jeune et bien qu'il excellait dans de nombreux domaines, sa force physique n'avait jamais été son point fort. Il était du genre à se laisser porter par le poids de son arme et la diriger avec faiblesse. De manière étrange, chacun de ces coups se montraient des plus dangereux, bien plus qu'une brute qui déclencherait une pluie de coups féroces. Reprenant ma première pose, je les laissa se disputer se renvoyant la balle sur leur terrain de prédilection, voila pourquoi je n'aimais pas la bureaucratie ni la politique on signais des papiers qui n'allaient à personne, au moins sur le champs de bataille tout le monde étaient loger a la même enseigne grand ou petit faible ou puissant une flèche ne faisait pas le distinguo entre les classes sa pointe perçait aussi bien la peau rocailleuse du fermier que la blancheur laiteuse de l'armure du commandant.

La porte s'ouvrit, j'ouvris les yeux, la pièce plongé dans une pénombre sécuritaire accueillait le monarque des samourais. Avançant en silence il remonta la table posant une main salvatrice sur les épaules, de sa simple présence il venait de faire taire les dissension qui me rongeait le crane depuis une bonne vingtaine de minutes. Quand il vint prêt de moi, je me retira de son siège sans qu'il est à me le demander, une brève révérence pour saluer une force supérieure. Quand il fut bien installer l'homme joignis les mains devant lui, je me plaça sur sa droite légèrement en retrait. J'étais le seul soldat accepté pendant ces réunions ma vie et ce que j'avais subit m'avait mit dans les bonnes grâces du Shogun, ma force l'avait convertie à accepté certaine de mes demandes comme celle d'assister aux réunions des magistrats.
- Bien nous allons passer les affaires courantes dit il, les magistrats se regardèrent interloqué prêt à faire remarquer au souverain que le peuple pouvait bien passé avant des demandes personnelles ou de chambrés, mais ils se retinrent suffisamment longtemps pour que le Shogun finisse sa phrase.
- Nous allons préparé une bataille sur le front nord finit il par dire, mon regard se posa sur le dos de son crane, dans la salle ces cheveux semblaient noir mais je connaissais suffisamment l'homme pour savoir qu'ils étaient châtain. Il leva la main pour me demander d'approcher, me penchant vers lui il tourna légèrement la tête me parlant à l'oreille.
- Mon Ombre Saiku te sent tu capable pour diriger un petit contingent de soldat dit il, je tressaillis à la demande, je n'aimais pas le travail d'équipe, les gens ne sont pas dans vos pensées et souvent ils ne font que compliquer les choses. Sans compté que la mission nécessitait surement de la discrétion et paraître silencieux tout seul n'était pas aussi difficile qu'être silencieux à cents.
- Cela dépends qu'elle est la mission que vous me confierez ? demandais le corps pliée, les bras le long les poings serré essayant de comprendre ou tout cela allait me mener. Le Shogun me regarda en coin puis continua.
- Il faudrait que tu prenne à revers nos ennemies le temps de faire une attaque surprise qui devrait les déstabiliser dit il, sa main venant caresser son menton me cachant une poignée de seconde sa bouche. Son regard se fit plus soucieux, je n'aimais pas ce que cela cachait mais je devais rien ne laisser paraître, je réagirais donc comme je l'aurais toujours fait.
- Je préfère y aller seul j'irais bien plus vite et silencieusement sans aucune troupe fis je remarquer, le Shogun appuya son menton contre le dos de sa main, un petit sourire sur les lèvres.
- Il y a des risques de troupes ennemies sur le chemin pas grand monde mais suffisamment pour te faire perdre du temps donc tout seul tu risque d'en perdre plus alors que accompagné tu pourra les vaincre plus rapidement, puis si je t'envois seul bien que sur de toi tu serra plus affaiblie en arrivant vers l'arrière des ennemies avoue tout de même que c'est du suicide même pour toi tu ne va pas te lancer dans une mission kamikaze me demanda-t-il mais sans attendre la réponse, les ordres qu'il me donnait devait être respecté et je m'étais fourvoyé dans sa premier demande. Il ne voulait pas savoir si je voulais ou se que je pensais de la mission qu'il me confiait, il me demandait juste si j'allais tous les tuer pour partir en solo.
- Bien monsieur, aurais je le droit de choisir les hommes qui viendrons avec moi ? dis je écartant légèrement les bras vue que mes choix étaient restreint je voulais au moins partir bien accompagné. Le Shogun rigola croisant les bras il fit un bref mouvement de la tête.
- Fait comme il te plait Saiku mais pas de zèle me dit il se tournant à nouveau vers ces conseillés il leur fit un topo rapide de la situation, un groupe d'homme samourai et ninja semblaient il menaçait le pouvoir en place dans le pays de Tetsu, ils se réunissaient non loin de la frontière. Le bute premier était de réunir le plus de samourai dans un court laps de temps, le plus rapide qu'ils pouvaient assuré. Ma troupe devait partir un jours avant la mise en marche de la petite armé, il faudrait deux jours à ces hommes pour arriver au point de ralliement sept cents mètres avant les troupes ennemies qui semblaient des plus désorganisé. Mais ils seraient aussi bien plus nombreux. J'avais donc deux jours pour faire le tour des forces ennemis en essuyant quelques combats. Je devrais prendre un chemin détourné pour les prendre à revers. Si l'armé prenait deux jours pour y aller le plus rapidement possible ma petite unité devrait mettre les bouchés double pour se trouver dans le dos de l'ennemie peu avant l'attaque du corps principal.

Le monarque se leva abrégeant la réunion, il y avait de nombreuse chose à faire et j'avais une équipe à réunir. Le Shogun me demanda de me mettre au travail, en principe en tant qu'ombre d'un dirigeant je ne dois pas le laisser sans surveillance mais il me congédiait je m'exécuta alors, m'éloignant de la table sortant discrètement de la salle ou les plans pour mené à bien la bataille allait bon train. Les listes des troupes spéciales du Shogun m'était confié pour que je vérifie leurs histoires. Bien qu'on m'avait laissé pas mal de temps pour choisir mon équipe, j'écrivais déjà les noms sur des bouts de papier séparé, j'avais du mal à croire que je formais mon équipe moi qui prônait le combat en solitaire et une vie d’ermite, le gardien d'un homme, l'ombre d'une nation, me voila projeté chef par le même homme influent dont je devrais avoir la garde. Pour beaucoup sa pouvait ressembler à une promotion pour moi c'était pire que me faire virer à coup de pompe dans l'arrière train. Les oiseaux prirent leurs envolent à peine une heure après mon départ de la réunion. Une autre heure dut disparaître avant que tout les hommes fussent réunis. Dix samourai tous experts dans un domaine qui leur était propre, katana, lance, faux, arc, corps à corps, dispositif divers et variés ces hommes étaient le fleurons de la garde personnelle du Shogun. Ces hommes étaient pour moi les meilleurs, ils n'appréciaient pas les missions d'équipe et préférait se battre seul mais je les avaient vue faire équipe avec des inconnus et faire en sorte de moduler leur action en fonction des autres, appréciant autant les erreurs que les moments de force incroyable. Mais ils se trouvaient devant moi. Je leur expliqua ce qui se passait, ils en déduisirent bien vite ce qui s'imposait quand le départ sonnera cela allait être une très longue mission. Une fois que tout fut dit, on se sépara tous le monde devait faire une chose peu commune au samourai. Dormir. Se reposer et ne rien faire d'autre de fatiguant, les entraînements étaient proscrit, ils allaient devoir se reposer sur leurs acquits. Un regard sur le paysage qui s'offrait à moi, le village était paisible, mon regard se fit plus perçant alors que quelques gouttes d'eau commençaient à se briser sur les fenêtre.

- Sa va être désagréable je le sens me dis je à moi même.

..Et comme dirait l'autre "Le temps passe. Ah, si on pouvait le regarder passer. Mais hélas, on passe avec lui."

Premier Fait d'arme [1er]

Le vent frais porté du pays des neiges nous parvenait avec beaucoup plus d'intensité depuis quelques temps. La neige tombera sur le pays avant la fin du mois j'en étais persuadé. Mirant les arbres qui dansaient dans le vent frais j'attendais ma petite équipe, aucun n'était en retard j'étais juste en avance d'une bonne heure. Je préférais garder une longueur d'avance et me préparer mentalement à la course que nous allions devoir faire. Un bruit de pas lascive me tira de ma rêverie, le premier et non le moindre Tengoku ces trois katana attaché contre ces hanches avançaient vers moi, aucun mouvement de salut si ce n'est ces armes mouvant comme une main saluant toute personne le croisant. Tengoku était un homme de petite stature et d'une morphologie souffreteuse il était difficile d'imaginer qu'un tel être était capable de soulever une arme. Prit de tremblement régulier, j'ai toujours crut que le poids même de ces armes l’entraînerait vers le sol ou il se mettrait à geindre, mais ce n'était jamais arrivé. L'homme était d'une force brute surprenante et maniait ces armes avec une rare dextérité. Ces tremblements venaient d'une expérience qui avait mal tourné, devant une telle proportion et génie a manier des katana il c'était laissé entraîné dans une augmentation musculaire pour augmenter sa vitesse et réduire le temps d'inertie. Malheureusement, en plus de ces attributs de vitesse il avait gagné ces tremblements qui montrait l'impatiente de son corps à bouger.
- Désolé dit il, le sol explosant prêt de lui me tira un moment de surprise, je vis son arme bougé mais plus comme une ombre et je supposais qu'il avait ralentie son mouvement de retour pour rengainé ce qui m'avait aidé. Tengoku me toisa du regard et se tourna vers le village, il était le plus orgueilleux de la troupe, il me considérait comme un sous fifre mais je n'étais pas le seul et si je lui laissais la parole pendant la mission il risquait d'en prendre la tête. Ce serait un désastre son orgueil lui voila le piètre tacticien qu'il est, cela fait bien longtemps qu'il n'a pas été chef d'une équipe et cela s'explique par les centaines de mort qui accompagne son dossier, les morts sont la pour de diverses raisons mais tous se résumait à une erreur de commandement. Bien qu'il était un électron libre dans le groupe, je ne pouvais pas me passer de sa force il pouvait bien être une arme redoutable si on parvenait à le canaliser, un parie que j'avais hâte d'essayer.

- On va partir en avance ? la question ne me laissa pas la surprise de deviner qui était dans mon dos. Un petit rictus sur les lèvres je me retourna vers lui, son regard toujours du blancheur glacial. Il était entré dans mon territoire de combat avec une telle facilité que je ne pus empêcher un frisson remonter le long de mon échine.
- Sairen depuis combien de temps es tu la ? demandais je, il fit un pas en arrière, il n'était pas très fort dans le combat de corps à corps, sa force ne venait pas non plus de ces capacités de tire. Non sa force était tout autre si l'adversaire avait le malheur de le quitter des yeux il finirait la gorge tranché ou bien un katana entre les deux omoplates. Aussi étrange que cela puisse paraître, il est née avec cette faculté étrange son coeur bat bien plus vite que la moyenne ce qui le fait passer pour mort si ce n'est pas un médecin expérimenté qui examine le corps. Tout découle de cette particularité physique, ces organes ont besoin de moins de sang le sang circule bien moins vite et les blessures saignent donc avec moins d'abondance. Sa respiration aussi est touché ce qui fait que même dans le pays des neiges, je n'ai jamais pu voir un seul petit nuages blanc sortir de sa bouche. Tout cela fut soutenue par la technologie samourai, un dispositif faisant disparaître la moindre trace de son chakra, de son existence une forme de technique qui l'entoure le rendant indétectable. Bien sur cela faisait un excellent assassin, mais pourquoi n'a t-il pas ma place ? c'est surtout qu'il ne pouvait assurer seul un combat, il avait monté sa troupe qui faisait partie intégrante de la garde du shogun ils ne portaient pas vraiment de nom, "Chinmoku no chīsana bando" voila comment les appelait Sairen et si lui était la j'avais du faire appel à toute la troupe cinq personne en tout chacun avait leur capacité mais les documents officiel n'en parlait pas ou très peu. Ces cinq hommes agissaient comme des ombres pour faciliter le combat de Sairen. J'avais donc sept personnes de présente bien que je n'en distinguais que deux, comme je m'étais compté dans la troupe il ne restait plus que deux personnes à attendre. Quand je reporta mon attention sur le village je les vis arriver, c'était des personnes contradictoire et pourtant ils étaient devenu amis. L'un, le plus jeune le regard bleuté les cheveux grisâtre malgré son jeune age portait dans son dos une longue lance qui frôlait le sol à chacun de ces pas, Yari s'arrêta le premier comme un bon lancier il faisait en sorte de toujours se tenir à porter de son arme sa pouvait sembler déroutant mais je le respectais pour cette attitude soldat en tout temps et tout lieux. Le second qui c'était considérablement approché était Kyori la seule femme du groupe, elle portait sa tunique ample dissimulant la faut et son manche ainsi qu'un dispositif pour tiré de petit carreau de flèche. Kyori était la stabilité du groupe elle s'entendait avec tout le monde et même Tengoku la regardait avec envie. De manière étrange ce petit bout de femme avait fait plier les soldats en chacun d'eux, mais avec moi elle ne faisait que se fracasser sur la montagne de mon indifférence, je la prenais comme elle était une samourai talentueuse mais aussi une très belle femme qui le savait et s'en servait.

- Je vois que tout le monde est la, nous allons devoir trottiné le plus de temps possible, courir quand cela nous serra possible nous avons deux jours pour faire le double de distance que l'armée qui partira demain dis je, regardant les affaires qu'ils avaient emmené tous avaient pensée à la difficulté de la mission et n'avaient donc rien emmené de lourd aucune affaire pour dormir ou manger juste de l'eau quelques spécialité du monde samourai qui pouvait nous faire sauter des repas sans trop nous fatigué. Un petit sourire entendu sur les lèvres de tout mes nouveaux compagnons me fit soupirer, je ne parlais pas à des débutants. Tengoku voulu dire quelques chose mais je lui tourna le dos.
- Allons y pas de temps à perdre dis je un mouvement de la main nous partîmes tous à la course.

Les samourai ne se déplace pas comme les ninja nous ne montons pas dans les arbres pour raccourcir ou surprendre nos adversaires, nous avançons toujours en ligne droite que la forêt nous barre la route ou bien les déserts ardant. Nous avons une meilleur endurance à la course que les ninja. Bien que notre palette de mouvement soit un peu plus limité que celle des ninja il n'est pas rare de nous voir prendre appuie sur les tronc des arbres pour se projeté un peu plus vite en avant mais cela se révélait être de la force pure plus qu'un évènement nécessitant une puissance étrange. Dans notre course nous ressemblions au ninja le corps légèrement en avant la tête ne quittant jamais ce qui venait devant nous. Mais ne comptant que sur un art séculaire et loin des jutsu des ninja nous avions toujours une arme à porté de main. J'avais pris la tête de l'équipe forçant la course ils s'organisèrent d'eux même sans même les voir faire je sais que Sairen avait déjà prit la queue du groupe, a lui seul il représentait six personnes ce qui assurait nos arrière. Tengoku avait prit la seconde place bien que moins rapide que moi il faisait en sorte de montrer qu'il se trouvait non loin de moi mais il finirait par descendre dans le groupe pour rejoindre la place avant Sairen, le groupe le laissait faire car il était en pleine possession de ces moyens et qu'un coup de ces sabres pouvait trancher plusieurs arbres j'étais en sécurité pour le moment. Kyori avait prit la place juste devant Sairen les mains dissimuler par sa longue étoffe je savais qu'elle devait avoir une arme de jet, c'était son boulot dans un groupe tuer le plus d'ennemie avant même que ces derniers n'aient pu faire le moindre mouvements. Puis Yari devançant Kyori avait une place de sûreté protégeant ces camarades le plus proche de lui de coup précis et à l'allonge bien plus longue.

La soleil haut dans le ciel nous informa qu'il était temps de faire une pause, nous avions courut tout le long de la route puis fini en trottinant nos respiration courte regagnait un rythme plus calme. La pause se ferait en marchant à travers la forêt pour gagner encore un peu plus de temps, nous mangeâmes une simple pastille fait de divers protéines pour entretenir notre attention et donner un coup de fouet à nos corps. Alors que la pause durait depuis une bonne dizaine de minutes, des ombres me fit lever la main, le groupe silencieux se scinda en deux certains disparaissaient dans les arbres d'autre se cachait derrière des boucliers naturelle. Je fis un nouveau signe m'attendant à voir Yari débarqué mais Tengoku s'avança prêt de moi. Je fis une grimace mais je ne pouvais pas revenir sur mon ordre le silence est d'or et je n'avais pas vraiment de signe discret pour lui dire de regagner sa place. Avançant sous couvert de la nature, nous trouvâmes une plaine au centre cinq hommes qui se disputait le commandement devant une carte de la région. Je comptais au moins deux ninjas, deux samourai l'un qui ne parlait pas n'avait rien à faire ici, un paysan mécontent qui avait prit sa fourche pour faire couler le sang mais maintenant que le combat approchait la peur se lisait dans ces yeux. Levant la main je fis le signe qui désignait Sairen lui demandant de faire intervenir ces cinq hommes, avec cet ordre je lui laissais le loisir d'intervenir avec eux. On ne pouvait pas se permettre de partir dans une bataille rangé ou bien attendre qu'ils s'en aillent le temps jouait contre nous.

Un vent brutale se leva autour des hommes mêlé à une terre friable un voile de terre profond dissimula les hommes les enfermant dans un monde cruelle de solitude. Les cris retentirent, je reconnus la fourche du paysan tombant hors du voile qui dissimulait le carnage. Je sortis de ma cachette suivit du reste de la troupe avançant d'un pas lent. A peine distance du carnage qui se finissait je pus constater que la fourche était accompagné du bras du malheureux. Secouant doucement la tête j'attendis patiemment que le voile de terre se dissipe puis une fois fait il n'y avait plus que Sairen entouré des cinq hommes en pièces. Pas le temps de cacher les corps, il fallait fermer les yeux sur le carnage et avancer, la prochaine fois Sairen ne combattra pas il se reposera une fois traverser le plaine nous reprirent notre marche forcé.

..Et comme dirait l'autre "L'orgueil est la même chose que l'humilité : c'est toujours le mensonge."

Premier Fait d'arme [Suite]

Le regard suivant le projectile s'élever dans le ciel, la mâchoire serré les idées se déversant en moi pour comprendre ce qui allait se passer quand cette chose explosera. Ma lame noir se rétracta sortant de la cache thoracique de l'homme lui tirant une toux sanguinolente. Un sourire déformait les traits du ninja. Ils avaient gagné nous étions arrivé à passé les lignes ennemies, nous avions contourné une large zone et nous étions enfin à l'arrière des troupes comment une telle chose avait elle put se passer. Prit de rage je coupa la tête de l'homme, baissant les yeux sur le spectacle immonde j'attendais le moment de l'explosion essayant de comprendre.

Nous étions parvenu à traverser les lignes ennemies nous nous trouvions à l'arrière la ou le Shogun voulait qu'on soit, un nouvelle aigle partie en direction de nos troupes pour que l'on sache le signale à attendre pour attaquer au moment propice. Alors que nous établissions une zone de sûreté nous fûmes attaqué, mais qui fut le premier, je vis deux hommes sauter des arbres tel des singes prit d'une rage sanguinaire. Les ordres étaient claire il ne fallait pas qu'on se fasse repérer c'était le bute de mon groupe, mais pour se battre le plus librement possible il n'aurait pas fallut qu'on se fasse prendre dans un piège. Alors que mon coup portait sur mon ultime ennemie, j'entendis ce sons sourd d'un tire de fusé. Voila que maintenant regardant le corps je levais les yeux pour voir notre mission échoué juste au bon moment pour voir la chose volante se faire percuté par un brin noir qui lui fit perdre de l'altitude. Tel un pétard mouillé la chose retomba dans la foret sans avoir créer sa couleur d'avertissement. Un bruit me força à extirper une arme d'un noir profond une lance que je pointa sans attendre dans la direction d'ou venait les petits craquement de bois qu'un homme peu soigneux écrasait rapidement. Tengoku émergea des broussailles posant l'une de ces armes sur son épaule il avait gagné une magnifique balafre sur la joue droite sans un bruit il se retourna puis s'en alla. Il était venu voir si j'étais encore vivant, je ne savais pas si je devais apprécier ce geste ou si il venait vérifier si il pouvait revendiquer sa place de chef. Les questions superflus était chronophage, je le suivis jusqu'aux autre membres de mon groupe.

Kyori dans son coin la tête basse le corps reposé contre le tronc d'un arbre essayait de cacher des tremblements surement du à une douleur intense. Vue que personne ne s'en souciait je m'en approcha, quand elle me vit elle se redressa mais pas plus d'une ou deux minutes son corps céda et elle se laissa tomber à terre.
- Fait moi voir lui dis je agenouillé prêt d'elle, mon regard passa une nouvelle fois autour de nous, la fusé reposait quelques mètres plus loin de nous une flèche le traversait, Kyori avait presque coupé la fusé en deux et à une distance des plus surprenantes. Elle écarta son vêtement et tendit son bras, des blessures de lacération qui ressemblait aux coups d'une lames, mais il y avait quelques choses dans leur formes et leur provenance qui laissait pantois.
- Tu t'es fait toi même ces blessures ? lui demandais je un regard inquisiteur, les formes et les trajectoires des blessures que je prenais pour des coups de lame partait du corps vers l’extérieur chose impossible à faire pour un ennemie, sauf si l'ennemie est bien sur votre allié. Elle laissa échapper un petit rire narquois puis tira son arme avec son autre main. Ce n'était pas qu'un vulgaire appareillage c'était aussi une technologie samourai. Je la regarda ne comprenant pas ce qu'elle voulait me dire.
- Si je le met sur mon bras je peux tirer un bon nombre de flèche bien plus vite mais je peux aussi tirer des flèches avec une force et une précision hors normes mais, elle laissa sa phrase suspendu à ces lèvres d'une main tremblante elle pressa un mécanisme qui sépara le déclencheur et le mainteneur ce qui permettait de tirer sur la corde et la maintenir chargé il ne restait plus sur le bras de Kyori que l'arme ou l'on chargeait les flèches. Sur son bras l'appareille créait une corde de chakra qui propulsait les flèches mais dans un soucie de discrétion, les inventeurs avait rendu l'appareille trop plat et le chakra devait brûler et couper la peau de l'utilisateur si il l'utilisait trop souvent. Je me tourna vers le reste du groupe, je pouvais voir de la terre fraîchement retourné une bonne quinzaine de tombe sans compté ceux qui restaient encore au sol. Elle avait du se servir de son arme plus d'une fois et le dernier tire avait été le pire touché d'aussi loin la fusé avait réclamé une bonne dose de chakra. Je lui tapota la main lui indiquant que j'avais comprit. Prenant du bandage dans mes affaires je lui entoura le bras doucement mais fermement distillant quelques gouttes d'un produit de cicatrisation liquide que je préférais ne pas appliqué directement sur la plaie.
- Pourquoi suis je le seul à t'approcher ? fis je remarquer, sentant le regard des autres, visiblement ce n'est pas qu'ils n'avaient pas envie de l'aider c'est qu'elle l'avait refuser. Le rouge lui monta au joue, j'arrêta mes soins et lui fit lever le visage pour la regarder droit dans les yeux. Elle détourna le regard, j'avais bien du mal à comprendre les femmes surtout les femmes qui avaient choisie la voie de la violence. Beaucoup la suivait au détriment de ce qu'elle ressentait vraiment et finissait pas faire des erreurs de jugement.
- Je ne voulais pas que l'un croit qu'il avait plus de droit sur moi que les autres dit elle, mon regard se fit interrogateur un sourire étira ces lèvres ces yeux amandes ne lâchait plus les miens. Je comprenais qu'on pouvait la trouvé attirante mais le danger ne valait pas le jeux de la bête à deux dos qui pourrait se jouer un soir.
- Vous êtes mon supérieur et n'avez jamais montré la moindre attirance pour moi je peux donc dire que vous m'aviez donner l'ordre de me tenir tranquille ainsi je ne blesse personne avoua-t-elle, je soupira la vie des femmes étaient bercé de question que je trouvais superflus. Aucun homme derrière moi ne la regardait comme un amoureux transit regarderait la énième femme de ces rêves. Tous ne rêvait que de la mettre dans leur lit un soire ou la solitude se ferra plus pesante que les autres. Mais je n'avais pas mon mot à dire la dessus. Une fois les soins fait je me leva pour aller aider mes hommes elle me remercia avant que je sois trop loin pour l'entendre, un mouvement de tête pour lui faire comprendre que j'avais entendu.

Les corps enterré l'aigle arriva dans de grand battement d'aile montrant sa patte entouré d'un papier noir qui se mêlait parfaitement à la couleur de ces pattes. Je retira le message, le dénouement approchait, Kyori aurait besoin de repos ce qu'on nous offrait serait suffisant.
- Nous avons deux heures, nous nous trouvons suffisamment proche des lignes arrières, je laisserais Kyori faire en sorte de créer une percé, Sairen assura la suite de l'ouverture avec sa troupe Yari, Tengoku et moi même nous traverserons la ligne aussi loin que l'on pourra, visiblement ils ont réfléchis deux minutes et on placé leur dirigeant au centre de leur troupe pour les protéger si on parvient à entrer suffisamment dans leur rang cela devrait créer un beau bordel qui va favoriser nos troupes dis je, ils me regardèrent le temps d'assimiler les failles de mon plan de mon plan puis sans dire mot allèrent se reposer. La jeune femme derrière moi c'était endormis, c'était dangereux je demanda à Sairen de la surveiller ou tout du moins sa troupe pour pas qu'elle soit prit pour cible elle formerait l’appât sans le savoir l'idée n'était pas flatteuse mais c'était la seule manière pour que Sairen accepte d'aider Kyori en cas d'attaque.
Les heures passèrent sans soucie, Kyori se remit à marcher et à assouplir son corps. Nous allions passé à l'attaque, alors que je me levais, une fusé explosa dans le ciel mais rien ne se dégagea, Tengoku arriva en courant un verre recouvrant son oeil.
- C'est le moment de partir ! dit il, devant mon air surpris je regarda le soleil et me fia à mon sentiment on allait partir en avance car rien ne fonctionnait comme prévue. Je me leva en hâte, tous se rassemblèrent derrière moi et nous partîmes dans la précipitation.

Les lignes arrière avançait dans un rythme soutenue, leur bannière inventé à la hâte flottait au centre de la masse d'homme. Kyori installa son arme sur son autre bras, je la regardais faire le filin de chakra se créa, elle laissa tomber une bonne vingtaine de flèche de différentes taille sur l'appareille les flèches se mirent a volter prête à être tirer. Nous nous regardâmes une dernière fois.
- Aujourd'hui tout le monde reste en vie dis je, ils me regardèrent surpris de tel parole puis je partie en avant, Pour le Shogun finis je par conclure partant rapidement, Tengoku et Yari sur mes talon bien vite nous fûmes dépasser par les flèches qui cueillir les hommes les traversants sans peine, chaque flèche tuait deux voir trois hommes, il faudrait quelques minutes à Kyori pour tirer à nouveau mais ce n'était pas un problème les hommes se retournèrent vers nous prêt à se battre et déjà Sairen se trouvait derrière les hommes les séparant par la surprise le sol céda les entraînant sous terre ce fut la débandade, nous nous frayons un chemin parmi les hommes et la débande que l'on créait, nous passâmes encore un peu plus loin et j'entendais déjà tomber les nouvelles slaves de flèches. A contre coeur Tengoku fut le premier à devoir rester en arrière se battant comme un diable pour creuser une nouvelle trancher pour qu'on s'y engouffre, puis vint le tour de Yari qui me permit de me propulser jusqu'au pied d'un dirigeant coupant les pattes de son cheval, il tomba le regard perdu puis il mourut sous ma lame. Alors que je m'apprêtais à continuer à tuer, je vis le Shogun sur sa monture avançant et tranchant les ennemies à tour de bras, sa position était délicate il se trouvait rarement en première ligne si je n'étais pas derrière lui à surveiller les ennemies potentielles voyant le coup venir je me jeta sur les hommes devant moi mon arme changeant de forme pour prendre celle d'une lance. Un ennemie parvint à sauter suffisamment haut alors que le Shogun donnait un coup donc affaiblit par sa position mais avant même que l'homme ne lève son arme, ma lance le traversait déjà le sang coula sur le Shogun qui me regarda atterrir prêt de lui. Un large sourire sur les lèvres et une certaine fierté sur le visage. Nos troupes avançaient les ennemies finiraient écrasé par l'armé, mes hommes se regroupèrent prêt de moi nous fûmes dépassé par les troupes et comme première récompense nous pouvions nous reposer sans participer à la fin de la bataille.

..Et comme dirait l'autre "L'orgueil est la même chose que l'humilité : c'est toujours le mensonge."

La relique

La salle de réunion désert semblait d'autant plus sombre qu'elle était vide. Le Shogun m'avait fait demander et je fus des plus surpris de le trouver déjà attablé quand je passe les lourdes porte. Assis sur son trône il jouait avec un médaillon au finition magnifique et au coeur aussi noir que de l'eben. Alors que je restais debout en bout de table, il fit un mouvement de la main m'invitant à prendre place à coté de lui. En silence je m’exécuta prenant place comme un homme bien élevé ne pipant mot des questions qui tournaient en rond dans ma tête. On était rentré de la bataille il y avait quelques jours, nous avions été remercié, reçus une intéressante sommes d'argent puis le défilé des acclamations ennuyeuse et pompeuse alors que tout ceux qui me regardait dans les yeux pour me compter combien j'étais utile pour la patrie me détestait profondément mais ils se jouaient de leur sentiments venimeux en cette journée de gloire. Tout redevint comme avant, le shogun m'offrit des jours de liberté qu'il trouvait mérité. Je fis un voyage dans les terre du monde samourai, me retrouvant parmi le peuple appréciant leur faiblesse et leur problème. Je ne me tourna pas les pouces pendant tout ce temps je profita d'une vie des plus anodine parmi les journalier j'appréciais ce train train quotidien cette force brute qu'il faut faire preuve dans les travaux sans jamais courber l'échine sous la pression social qui s'installe autour de soit. A coté de cela je préférais les batailles rangé au moins quand une lame me traversait le corps je n'avais pas à me demander d'ou pouvait bien venir le coup et d'ou viendra le prochain coup mortel. Mais cela me détendait de changer de vie, parfois la solitude de ma cache aussi me manquait comme si la solitude devenait une maîtresse sérieuse qui se montre parfois impétueuse. Seul aucune responsabilité c'était la une force de mon passé, je n'avais jamais connu les responsabilité d'ami ou de famille cela m'avait rendu quelques peu insociable ou bien l'inverse dans tout les cas je séparait mes pensées et mes sentiments bien mieux que ceux qui on été aimé et on connu les affres et les pressions d'un système social. Donc après ma petite excursion dans le pays je revins à l'heure pour reprendre mes fonctions et voila qu'on me fait demander alors que à peine poser mes affaires dans ma chambre c'est Yari qui vient frapper à ma porte il portait sa décoration sur ces affaires la mienne resté au fond d'un rangement quelconque n'avait jamais vue le jours toujours coincé dans son écrin.

Me voila en face de l'homme que j'avais juré de protéger, sans un mot il posa le bijoux sur la table et le fit glisser vers moi. Je rattrapa la chose avant qu'elle ne tombe à terre, mine de rien elle pesait lourd et semblait chauffer entre mes doigts. J'haussa les épaules ne sachant pas quoi répondre à ce geste.
- C'est un présent pour m'avoir sauver la vie dit il, sont regard se fit plus sévère alors qu'il regardait ma tenu, Saiku tu sait que la distinction que tu as reçus est très importante tu doit la porté comme toutes les décorations fit il remarquer, je baissa les yeux je ne voulais pas montrer à quel point je n'en avais rien à faire de la décoration en tant qu'ombre le Shogun aurait du le comprendre mais peut être avait il quelques choses d'autre en tête.
- Je m'excuse mais en tant qu'ombre les décorations ne m’intéresse pas dis je relevant les yeux vers lui je fut surpris d'y voir un sourire.
- Je le sais bien Saiku c'est pour sa que j'aimerais que tu porte ce bijoux mais peut être que si tu connaissait son histoire serait tu plus tenté de le porter sans poser d'autre questions fit il remarquer, je mirais le bijoux toujours dans ma main tout à coup très curieux de ce qu'il pouvait être et pourquoi l'avoir en même représentait tellement de chose pour le Shogun. Je le laissa continuer son explication.
- C'est une arme ne croit pas que c'est un bijoux de plus c'est une arme terriblement ancienne offerte par les premiers Uchiwa le soucis c'est que bien qu'elle puisse promettre de très grande chose et une force surement redoutable personne ne parvient à l'activer ni ninja ni samourai dit il, si il voulait éveiller ma curiosité cela était fait j'étais dévorer par l'image de ce petit médaillon qui devait avoir suffisamment d'importance pour sceller une entente, son mystère était encore plus attrayant que je ne le pensais, une force dont personne ne connaissait l'étendu des capacités de cette chose.
- Et pourquoi croyez vous que cette arme possède une puissance suffisamment intéressante ? demandais je posant l'objet sur la table jouant à faire tourner l'objet. Le Shogun regarda me regarda un long moment, il n'avait jamais traité cet objet avec un tel manque d’égard, mais cela ne le concernait plus il n'était plus à lui mais à moi. Il prit une grande respiration.
- Car le dernier qu'il l'eut en sa possession put mettre à genoux un pays entier, je ne crois pas que cet homme en avait la capacité naturellement dit il, ce n'était donc qu'un pressentiment personne n'avait peut être vue la moindre once de pouvoir dans les traits du bijoux. Jusqu'à qu'il me prouve le contraire je le considérerait comme une simple babiole dont les Uchiwa s'en sont servit pour épater la galerie.
- bien je la ferais mettre sur une partie de mes habits dis je, le Shogun me congédia d'un mouvement de la main, je le remercia mais il n'y prêta pas attention plonger dans ces pensées il resta à regarder dans le vide attendant que je m'en aille.

Je fis mettre le bijoux sur un protège gorge bien en vue, tout le monde prit cela pour une coquetterie de ma part mais personne ne pipa mot pour me le dire en face peur de ce que je pourrais dire ou bien leur faire. Quand le Shogun remarqua la nouveauté il s'y intéressa et tout le monde apprit que c'était un présent du Shogun, après cela plus personne ne teint compte du bijoux. La vie reprit aussi facilement que si je n'avais rien vécus ni bataille, ni permission, ni cadeau. Je surveillais le Shogun profitant des réunions pour en apprendre toujours un peu plus sur ce monde qui m'avait semblé si étrange lors de ma sortie de prison. Puis les mois passèrent le temps intangible se formais sur moi comme des centaines de mains passant sur mon corps créant de nouvelle balafre lors des épreuves, bataille toujours plus de conflit s'ouvrant à moi comme un fléau que je ne pouvais qu'accepter. Mes nuits c'étaient apaisé quand je repensais au combat et au chaos du monde qui ne s'éteindrait jamais j'aimais ce chaos et l'ordre qui s'en dégageait.

Alors que le printemps naissait, des gardes déboulèrent dans ma chambre je leva les yeux du récit d'un des éclaireurs revenu des terre ninja interrogeant du regard cette interruption plus qu'impromptue de la part des hommes qui me devaient tout de même un minimum de respect. L'un se plaça devant les autres, lui je l'épargnerais peut être me dis je attendant la nouvelle qui avait coûté le bonheur de ma solitude.
- Ridley a été aperçus Saiku-dono ! dit il les bras entre ouvert dans une position qui réclamait une certaine clémence de ma part. Mais effectivement la venue de Ridley n'annonçait rien de bon bien que le monstre ne semblait pas vouloir la destruction il était toujours poursuivit pas une myriade de chasseur et autre fêlé prêt à en découdre et les dégâts de leur combat coûtait chère autant en bâtiments qu'en hommes.
- Ne le dite à personne je vais m'occuper de ce problème dis je, ils parurent surprit d'une telle demande mais bien entendu j'avais une idée bien précise en tête, j'avais toujours voulu affronter Ridley puis sa me servirait d'excuse pour faire croire que le démon me permet d'essayer d'activer le bijoux offert par le Shogun. Prenant mes affaire je disparut en courant de la chambre.

..Et comme dirait l'autre "L'âme d'un homme est un domaine secret et difficilement accessible."

Le pouvoir

Ridley approchait je le sentait dans l'air, les vibrations du sol, la chaleur du vent qui drainait la force du monstre. Il c'était caché dans une grotte appréciant la solitude il devait s'attendre à être attaqué mais après un moment ou rien ne semblait se passer il avait fini par bouger sortant de sa grotte la gueule mesurant plusieurs hommes les dents devait faire ma taille. Son regard incandescent ne montrait aucun sentiment et le rouge colérique de ces yeux se posa sur moi de sa simple présence il m'écrasait. A ma vue Ridley expira un air nauséabond sentant la chaire humaine et le souffre. Posé sur les corps des hommes venu l'affronter, j'attendais le monstre. Il fini de s'extirper de sa cachette, sa queue balayant la foret aux alentour.

- Que veut tu humain dit il s'approchant de moi pour renifler les corps qui jonchaient le sol.
- T'affronter serait un bon début répondis je, le dragon s'écarta un soupir de dédain levant la patte pour m'écraser j'esquiva avec lenteur les corps furent broyé par l'impacte les griffes au proportions gigantesque grincèrent, tapotant le sol le démon rigola.
- Je vais m'amuser avec toi dit le démon, sa bouche se refermait entre deux paroles comme un mauvais ventriloque, Je n'aime pas tuer des hommes mais vous semblez prendre plaisir à me traquer et à mourir dans mon estomac alors pourquoi changerais je vos habitudes dit il la patte tremblant je sauta pour éviter la patte qui raclait le sol creusant des sillons large de plusieurs mètre. Je tomba sur sa patte, les écailles sous moi vibrait d'une force surprenante. Formant une arme je la planta dans la patte, je n'avais pas l'habitude de voir l'une de mes armes bloquer alors quand le chakra rentra en contacte avec les écailles et que celle ci résistèrent, je perdis ma concentration et le katana explosa me projetant sur les griffes. Le dragon souleva sa patte la bougeant il parvint à m'envoyer balader dans la foret passablement amusé il fit un bon pour me rejoindre jouant au chat et à la souris je couru pour ne pas me retrouver sous la masse qui me tombait dessus.
- Que fait tu petit homme il est temps de se battre tu ne croit pas ? dit il, alors que je partais dans son dos le grondement de sa queue attaquant me vrilla les tympans, le sons venait de partout et si il n'avait pas attaqué du haut vers le bas peut être que je ne pourrais plus en parler aujourd'hui, mais il avait décidé de m'écraser et l'ombre qui se forma au dessus de moi était suffisant pour me prévenir de l'impacte imminent je forma une lance que je planta au sol la forçant à s'allonger je m'extirpa de la zone du future sinistre. Le tremblement de terre fut elle que les arbres se déracinèrent, l'impacte passé le souffle d'énergie qui en émana me coupa le souffle. Déboussolé le dragon ouvrit grand la gueule, je pouvais sentir la chaleur du souffle qui se préparait, la zone allait être bien trop grande pour que je puisse fuir.

- Tss pas vraiment le choix dis je courant vers le monstre qui baissait la tête vers moi, un feu liquide au fond de la gorge décorait le sol de lueur étrange. Je sauta vers sa bouche prêt à cracher ces gerbes de feu mon poing recouvert d'un chakra sombre je mit dedans le plus d'oxygène liquide que possible puis j'allongea le tout vers la vague de flamme qui partait. La lance se fraya un chemin dans la vague ardente et quand elle fut dissolu l'oxygène liquide explosa à hauteur de la chaleur qui l'entourait. Le souffle de l'explosion écarta les flammes qui m'entourait mais me fit à nouveau voltiger, repassant devant l'entré de la cachette du monstre je vola encore quelques centaine de mettre avant de m'écraser comme une loque sur le sol. Ma tenue en lambeau, je ne pouvais pas retirer cela au démon ils avaient de la puissance et un certain entrain pour le chaos. En une poignée de minute notre combat avait détruit plus hectare de foret et m'avait mit dans un état lamentable. J'étais fière de mon petit effet, en voyant le monstre se remettre sur ces pattes je compris que j'avais réussit à le faire décoller le corps prit dans les soubresauts d'un rire fou il s'avança faisant trembler le sol, mon corps refusait de bouger, encore un peu de temps et j'y arriverais je le savais, je pourrais juste bougé pas plus qu'un ancêtre prit de rhumatisme mais sa serait toujours mieux que rester allonger en face d'un démon furieux. Je baissa le regard, son regard me frappa, la violence avait disparu ne laissant qu'une froideur implacable.
- Je crois que c'est la fin jeune homme dit il levant la patte, montrant une unique griffe aussi grande que moi et peut être même aussi large finissant en pointe je déglutis.
- Et si je m'en sort tu me laissera vivant ? demandais je, ma voix était faible je craignais qu'il ne m'entende pas, mais il baissa la tête jusqu'à mon niveau puis m'observant et voyant que je ne plaisantais pas il me dit que oui un sons gutturale et d'une douceur étrange pour un tel démon. Je parus soulagé mais déjà il me toisait de toute sa taille la griffe sortie visant un peu pour être sur de ne pas rater sa cible. Il projeta sa patte vers la griffe m'empala sans soucie la douleur fut fulgurante mais bien vie tout cessa le monstre au-dessus de moi bloqué, tout perdit de sa couleur était ce la mort me dis je mais j'avais l’impression qu'on m'éloignait de tout cela, alors que je sortais de mon propre corps mes mouvements saccadé et souffreteux je tomba à la renverse, le souffle court la griffe toujours planté dans ce qui ressemblait à mon corps prit dans le marbre.

- Hooo un Genjutsu je suppose tu doit être très fort pour m'avoir eu dit le dragon laissant tomber son visage vers moi, il renifla une fois profondément puis se remit à sa place.
- Tu es un samourai alors cette chose que j'ai traversé est une de vos invention ? Dit il se penchant vers la forme, Non je sens l'art ninja alors qui ta fait un cadeau aussi puissant finit il par dire, mon double blessé aspirer par le bijoux du Shogun. Le voyant disparaître sous mon cou, je compris ce qui ce passait, l'arme venait de s'activer sans que je lui demande, il m'avait juste laissé une autre chance de prouver que j'étais digne de le porter ou bien il c'était activé car il me reconnaissait comme son maître.
- Je te laisse vivant jeune samourai tu devrait garder cette babiole que tu porte sur toi son pouvoir est immense et elle vient de te sauver la vie dit il, tu es le premier depuis fort longtemps que je laisse envie après qu'il m'est défié dit il puis sans un autre mot il décolla vers les cieux pour s'y perdre. J'avais réussis à m’adosser contre un arbre crachant du sang je sentais ma conscience se perdre. Quand je tomba dans les pommes je remercia le Shogun de son cadeau et surtout ce dernier de m'avoir sauver la vie.

Mon réveille fut désagréable. Le Shogun se trouvait dans la pièce en grande discutions avec les médecins, les yeux ouverts tous se turent m'observant comme un phénomène de foire. Je voyais leur yeux bouillonner de questions.
- Tout le monde ce demande comment tu as pu revenir en un seul morceau dit le Shogun se plaçant à ma tête il me servit un verre d'eau qu'il me tendit. Je le pris d'une main tremblotante et en bus une gorgé.
- Pourquoi tout le monde veut ils savoir cela, vue mon état je ne suis pas sortie vainqueur de la rencontre fis je remarquer, le shogun reposa l'eau bruyamment un sourire tirait ces lèvres en une grimace mondaine.
- Tu es le premier depuis une bonne centaine d'année à pouvoir dire qu'il s'en est sortie après une rencontre avec Ridley alors je crois que leurs curiosité est légitime, la mienne aussi finit il par dire se penchant vers moi les yeux dans les yeux je sentais monter l'anxiété et sa colère il se doutait que je cachais quelques choses mais il ne pouvait pas mettre le doigt dessus. Pour toute réponse je me contenta de fermer les yeux et de tomber à nouveau dans un sommeille sans rêve.

..Et comme dirait l'autre "L'âme d'un homme est un domaine secret et difficilement accessible."

Nouveau Prologue

"Plus vite Saiku c'est mou !" me lança une nouvelle fois le maître d'arme, un katana dans ma main je jeta avec une rage restreinte une nouvelle fois sur l'homme lui lança une feinte mon poing montant vers ces côte. Il se déplaça coinçant mon attaque entre son coude et ces cotes, il attaqua avec son arme en bois la main qui tenait mon katana. Sous l'impacte je lâchais mon arme qui résonna dans la pièce d'entrainement. Le Shogun placé dans les estrades suivaient tout mes entraînements depuis que j'étais rentré en vie d'une rencontre avec le démon. Mais il n'y avait rien a voir en tant qu'ombre je ne devais pas utiliser toutes mes capacités en cas de traître interne je devais montrer de véritable surprise capable de faire échouer une telle attaque contre le Shogun. De plus le secret sur mes capacités permettaient de faire hésiter les traîtres. Le maître d'arme se tourna vers l'endroit ou se trouvait le Shogun levant les bras.

- Mon Seigneur remplacé votre homme il serra incapable de vous protéger lança-t-il, me relevant sans soucie je n'utilisais aucunement mon énergie à cet entrainement que l'on m'imposait tout ce que cela m’entraînait c'était mon self contrôle et ma gentillesse. Sinon cela ferait bien longtemps que j'aurais envoyé ce maître d'arme dans une tombe profonde et anonyme. Le Shogun se leva, croisant les bras, il siffla, les gardes entrèrent dans la pièce.
- Veuillez fermer les portes, laissez nous seul tout les trois dit il, alors que tout le monde s'exécutait je ne quittais pas le Shogun du regard que comptait il faire. Quand le dernier verrou retentit l'homme reprit sa place croisant les jambes le regard tourné vers ces deux combattants.
- Saiku tu peux te battre librement, j'ouvris de grand yeux un tel manquement au protocole n'allait que compliquer mon travaille mais avant que je ne refuse il leva une main pour couper mon élan, Ce type est un traître, je le fais suivre depuis trois mois et il donne régulièrement des informations aux ninja fit il remarquer je comptais l'arrêter et le tuer après cet entrainement mais je préfère qu'il voit tes véritables capacité puis sa fait un jeu magnifique si il gagne je le laisse partir en vie finit il par conclure, je reporta mon attention sur l'homme qui au discourt du Shogun était passé par toutes les couleur qu'un visage humain pouvait prendre, à la mention de sa liberté prochaine il se ressaisit. Une vrai arme tomba prêt de lui, le Shogun venait de lui donner la sienne une arme finement taillé elle n'allait pas être facile à couper, mais sa ne faisait que rendre ce combat de plus en plus intéressant. L'homme ramassa l'arme, la tenant devant lui bouclier tranchant qui nous séparait, un faible sourire passa sur son visage voyant mon arme de bois dans ma main. Lui rendant son sourire je fis émerger un katana noir faisant exploser le katana de bois en millier de coupeaux de bois.

L'arme du Shogun tint bon pendant de nombreux coups, mon adversaire était très bon avec une arme à la main il n'avait pas volé sa place, mais il manquait terriblement de puissance alors que mon katana venait écraser une nouvelle fois le siens sa noirceur vint ronger la lame qui céda sous l'impacte. Le maître d'arme sauta sur le coté pour éviter la lame courant vers moi pour me porter un coup je leva la main vers lui une goûte d’oxygène liquide se créa sur mon doigt puis d'un faible mouvement l'envoyant vers lui créant une dépression l'homme s'envola pour aller s'écraser contre un mur. Me redressant je m'approcha du corps enfoncé dans le béton les mains pendantes mais toujours agrippé à son arme quelques morceaux du mur tombaient prêt de lui un voile de poussière le recouvrait rendant sa peau grisâtre. Je prit son pou, *Touche* pensais donnant une petite écriture au niveau de son cou, je me retourna me dirigeant vers le Shogun qui ne c'était pas levé attendant le dénouement qui tardait à venir.
- Il est encore en vie dis je, le regard du seigneur s'ouvrit en grand puis je claqua des doigts une lame coupa le cou du maître d'arme qui avait tenté une attaque en traître. La tête toucha le sol en même temps que le corps, voyant la tête roulé devant moi je vis que l'homme pleurait était il vraiment un traître il courait des rumeurs sur le Shogun qui s'amuserait à faire affronter ces hommes pour voir leur véritable force et surtout le dévouement. Avais je envie de le voir traquer la vérité sur ma survis. Je me redressa, en silence nous nous jaugeâmes un long moment quand cela ennuya le Shogun il se leva et fit mine de partir.

- Je souhaite partir de l'armée dis je, la main sur la porte de sortie le Shogun s'arrêta me tournant toujours le dos.
- Pourquoi ? demanda-t-il
- Car je ne peux pas vous protéger contre les menaces extérieur si vous fomentez vos petits combat contre moi dis je, le corps du Shogun disparut, son ombre se plaça juste sur mon coté suivit de prêt par sa lame un large coup latéral que j'esquiva par une roulade arrière. Sans me laisser le temps de me relever il vint m’asséner une nouvelle attaque que je bloqua avec l'une de mes armes nouvellement formé. Le visage impassible il força encore un peu plus, et plus il gardait le contacte longtemps plus mon chakra dévorait la sienne, quand il le comprit enfin il s'écarta vivement regardant l'arme abîmé il émit un long sifflement stupéfait.
- Etes vous toujours droit dans vos devoir envers une autre personne Shogun ? demandais je, il leva la tête visiblement vexé par la question.
- Bien sur mais je ne peux pas te laisser quitter l'armée dit il, fonçant à nouveau sur moi me redressant ma concentration renforcé des lames sortir du sol pour me protéger du coup mais la lame continua sa course recouverte de chakra elle était presque aussi coupante que la mienne, reculant pour ne pas finir embrocher les lames se rétractèrent le Shogun avait disparu préparant une petite gouttelette explosive je le vis se glisser derrière moi, le timing devait être parfait. Alors que sa lame se jouait de ma garde feinte j'envoya vers le sol la goutte explosive qui recouvrit notre combat, continuant son mouvement le Shogun me traversas mais déjà l'activation du médaillon se faisait sentir voyant la lame sortir je savais que mon ancien seigneur allait quitté le voile de poussière je me projeta à sa suite quand il émergea du brouillard de poussière je marqua un temps d'arrête pour venir coller mon arme contre sa gorge.
- Je pourrais vous tuer mais je préfère vous voir avec une dette dis je, le Shogun aurait pu essayer de ce défendre mais je n'aurais pas hésiter à lui trancher la gorge si il le faisait. Pour marquer ma victoire il lâcha son arme un sourire sur ces lèvres. Dans le brouillard qui s'estompait jamais laissé la relique quand le voile épais se dissipa il ne restait plus qu'elle à terre, elle avait déjà absorbé le temps qu'elle m'avait épargné. Je porta la main à mon cou feignant la surprise de voir la perte de mon médaillon, j'alla le chercher pour le remettre en place.
- Part maintenant dit le Shogun me tournant le dos pour frapper à la porte verrouiller, les gardes ouvrir rapidement pour laisser passer le seigneur et maître de ces terre.

Je n'aurais surement jamais gagné sans le secret du médaillon mais je n'allais pas en être désolé. Préparant mes affaires je partie sans rien dire à personne, dissimulant mon départ je laissa le Shogun annoncé la nouvelle à ma place. Alors que mes pas m'éloignait du village, je ne me considérais pas comme un Ronin, j'étais un samourai quoi qu'on puisse en dire je trouverais ma voie mais je sais que mon âme autant que mon coeur se trouverait toujours au prêt du dirigeant des terre samourai. Sa serra surement la dernière fois que je voyais le Shogun que je protégeais et je n'avais pas pu le saluer comme il se doit c'était sa aussi être une ombre.

..Et comme dirait l'autre "On peut tout acquérir dans la solitude, hormis du caractère."