Prélude : Un nouveau départ...

Le départ d’un être chère est souvent difficile à accepté, certains laissent leurs émotions les envahirent laissant place à des torrents de larmes, d’autres reste stoïque mais ne sont pas néanmoins moins triste que ceux qui pleurent. Mais, il y aussi une petite minorité, qui se vois accepté de force le départ de l’un d’entre eux. Ceux-ci préfère oublier immédiatement l’existence de l’être qui est partit, pour ne pas laissé leurs haines les envahirent. En effet, les départs sont souvent dure à accepté, ce fut le cas d’un individu fusillé du regarde menaçant de sa famille… C’était un soir de pluie au sein du pays de la jungle. Le village caché de Kakureru s’était déjà endormi mais une petite parcelle de ce dernier restait encore en éveille. Le quartier du clan Shimizu… Ce soir là, tout le clan était a l’affut car un de leurs membres avait décidé de quitté le village caché de la jungle ainsi que sa propre famille. Une lettre, c’est tout se qu’il restait de cet individu. Selon le manuscrit, il ne s’agissait pas d’une désertion, car contrairement à celle-ci l’individu garderais contacte avec sa famille, et serait toujours à disposition du village de Kakureru. On pouvait dire qu’il s’agissait juste d’une fuite en quête d’indépendance, une indépendance sans responsabilité, sans dévouement pour une quelconque organisation. En gros, une liberté totale…

C’était une grande première pour le village ainsi que pour le clan Shimizu. Jamais un membre n’avait osé prendre cette direction de peur de se faire haïr par les siens. Il fallait dire que le clan du sable était réputé pour leur dureté en vers les membres qui paraissaient les plus aptes à prendre la relève. « Le clan passera toujours avant toutes choses. » Voila le nindo qu’imposait les Shimizu à tous nouveaux nées et ces derniers devaient s’y plié et ce même contre leurs volontés. Kazuhiko Shimizu, chef du clan Shimizu était furieux, d’autant plus que le fugitif n’était autres que son propre fils Raikô… A l’époque, Raikô venait d’avoir treize ans et faisant déjà parlé de lui. Le digne héritier d’Aizawa Shimizu fondateur du clan et créateur du Sakyû avait décidé de quitté les siens pour mené sa propre vie. On lui en demandait beaucoup trop. Fils du chef de clan, il devait travailler plus que quiconque et son talent lui avait valut d’avoir comme cadeau empoisonné le surnom d’héritier d’Aizawa. Cela en fut trop pour le jeune blondinet à lunette, qui lui n’avait jamais désiré devenir Shinobi. Son départ fut donc d’une grande logique…

« Kazuhiko-sama, que devons nous faire ? Doit-on partir à sa recherche et le ramené au village de force ? »

Jetant un dernier coup d’œil sur la lettre qu’avait laissé Raikô, puis la réduisant en pièces d’un seul souffle Kazuhiko semblait avoir pour une fois raté une étape en se qui concernait son fils. Lui qui avait toujours cru que Raikô deviendrais le chef légitime du clan Shimizu une fois qu’il disparaitrait de se monde, lui qui avait toujours prit sa défense alors que le ninja aux cheveux blonds subissait les critiques de tous de part sa passivité et sa non volonté de suivre les règles du clan. Il a toujours pensé que son fils finirait par comprendre et par accepter l’idéologie du clan, de sa famille. Kazuhiko fini par réalisé qu’il s’était trompé et ce depuis le début. Le digne héritier des Shimizu avait peut être un talent dépensant largement celui des autres, mais il restait attaché, lier aux anciens Shimizu…

« Non. Nous n’avons plus rien à faire concernant Raikô. Retournons à nos projets, faisons avancer le clan. Ce n’est pas son départ qui changera quelque chose. »

« Le clan passera toujours avant toutes choses. » En effet, les objectifs de puissance du clan, de réputation, de reconnaissance étaient encore loin d’être atteints. Kazuhiko était le chef du clan Shimizu et devait respecter cela. Qu’il s’agisse de son fils ou d’un membre quelconque, il ne devait laisser ces émotions l’envahir et devait reprendre son rôle de chef. Mais ce dernier oublia une chose. Il n’était pas seul dans cette histoire. En effet, il avait aussi une femme, qui n’était autre que la mère de Raikô… Maya Shimizu n’accepta pas la décision de Kazuhiko. Il était question de son fils, âgé de treize ans qui plus est. Oui, il était jeune, très jeune et l’amour d’une mère pour son fils ne valait pas le plus puissant des jutsu…

To be continued...