Si la paix était le début d'une histoire, celle du monde Shinobi n'aurait commencé qu'après la dernière grande guerre qui avait soulevé tout les shinobi du monde, unis sous une seul bannière pour contrer les vagues déferlantes des samourai sur le sol alors vierge de toutes emprunte autre que celle de la croyance des ninjas. Au centre du conflit, la cupidité des un, la soif de puissance des autres. L'envie de conquérir de prouver et de tester sa force et surtout sa foi. Foi en une idée ou bien un mode de vie. Dans tout les cas, les deux camps avaient tord.

Si la droiture d'être était le début d'une histoire, celle du monde Samourai aurait commencé au moment même ou certain commencèrent à se poser les véritables questions. Celle qui pousse l'homme à ce demander ce qu'ils veux vraiment pour son propre bien et celui de sa communauté, celui de sa famille. Le début de l'histoire aurait été baigné de sang et de traîtrise alors que le conflit se déroulait à la frontière avec le pays ninja. Les idées devenaient des armes au tranchant inégalable, le sang coulait pour les paroles et alors qu'il devenait si simple d'oublier les dires, il devenait bien plus compliqué d'éffacé les torrents de sang qui c'était déversés entre les deux pays. Tout le monde avaient perdu quelques chose dans les affrontements, mais une unique chose était commune aux deux parties. Leurs jugements leurs avaient été dérobé quand ils avaient tous fait en sorte d’obéir aveuglément aux ordres et à leur conditions de combattant.

Si la liberté devait être le début d'une histoire, celle des Wakou reposerait sur ce ninja regardant l’horizon, les vagues portées par un vent brutale venant mourir sur les rochers du monde shinobi. Si cette homme avait choisie la voie de ces frère, il serait sur le champs de bataille à ce moment la, l'arme à la main ou toutes autres choses lui permettant de retirer le plus de vie possible à ce monde. Si il n'avait pas vue la folie s'installer dans des cœurs épris de certitude, celle la même qui conduit les royaumes à la chute, celle la qui fait taire les sentiments pour la haine, il y serait peut être, dans sa tombe.

Il est simple de séparer ces trois histoires mais au contraire c'est en les réunissant que les vérités éclatera. L'un possède la soif de toutes chose, l'autre l'envie de tout. Et sans la liberté tout cela ne serait il pas vain ?
L'histoire de ce monde n'a pu débuter qu'à ce moment la, quand tout un chacun prirent la décision de se retourner sur le chemin parcourut. La guerre, ce monde n'avait connu que cela, mais les morts entravaient la pensée. Mêlé à la tristesse le temps était continuellement chargé de pleure. L'ancienne génération avait entamé cette dernière grande bataille, mais la nouvelle génération voulait connaitre leur père éduquer leur fils. Il n'y avait plus que les livres qui décrivait le rire des enfants dans ce monde aussi froid et cruelle qu'une arme. C'est quand la paix, la droiture et la liberté se rejoignit qu'une paix s'installa, recouvrant le cris des morts jusqu'à la unique mélodie du monde. Jusqu'à quand encore ce voile tiendra-t-il l’animation reprend doucement n'est pas les prémisses de la violence qui reprend, cette idéologie qui se suffit à elle même ne comptant que sur soit pour mieux bâtir un monde aussi chaotique que les pensées qui la dirige.

Si le choix devait être le début d'une histoire, ce serait le commencement de la votre !